Bagneux, solidaire aussi avec la planète !
Tribunes
Tribune des élus Europe Ecologie-Les Verts parue dans Bagneux Infos, juin 2011
N’est-il pas incroyable de devoir préciser qu’une ville n’est riche que de sa diversité ? N’est-ce pas le propre de la ville ? Que sa bonne santé en résulte, comme pour toute construction vivante, corps social, ou milieu naturel.
Nous devons rompre dans un même élan, avec la prédation insupportable des plus riches sur les plus fragiles, qui entraine leur relégation - par quartier – dans toutes les villes de la Terre, mais aussi avec les prédations sur l’environnement - la planète entière est à la merci d’un pouvoir cynique porté par l’argent.
Notre monde s’écroule. Le temps de la coopération s’ouvre ; celui d’une nouvelle forme de solidarité humaine, indispensable à la survie de notre espèce.
Il ne s’agit nullement d’un repli sinistre sur le passé, mais d’explorer de nouvelles voies, se nourrissant à la fois des bonnes pratiques, oubliées par les « progrès » du XXeme siècle, et dans ces « mêmes progrès », d’utiliser tous les éléments qui nous permettent de réaliser cette métamorphose de notre civilisation.
Utopisme pur ? Non.
Concrètement déclinée, la mutation écologique de la société donne : des emplois relocalisés, créateurs d’activités économiques au sein d’une ville ; des besoins de coopérations mieux satisfaits dans l’espace public, sources de solidarités, de débats démocratiques, de culture, d’ économies d’énergie, de transports publics ou partagés ; un air et des espaces mieux protégés pour tout ce qui vit, humanité et nature, sources de nouveaux conforts et de santé.
La plus petite expérience pèse aujourd’hui dans notre civilisation en réseau, et l’échelle de la ville est pertinente.
Pascale Méker
Conseillère municipale déléguée
Groupe Europe Ecologie Les Verts
Nous devons rompre dans un même élan, avec la prédation insupportable des plus riches sur les plus fragiles, qui entraine leur relégation - par quartier – dans toutes les villes de la Terre, mais aussi avec les prédations sur l’environnement - la planète entière est à la merci d’un pouvoir cynique porté par l’argent.
Notre monde s’écroule. Le temps de la coopération s’ouvre ; celui d’une nouvelle forme de solidarité humaine, indispensable à la survie de notre espèce.
Il ne s’agit nullement d’un repli sinistre sur le passé, mais d’explorer de nouvelles voies, se nourrissant à la fois des bonnes pratiques, oubliées par les « progrès » du XXeme siècle, et dans ces « mêmes progrès », d’utiliser tous les éléments qui nous permettent de réaliser cette métamorphose de notre civilisation.
Utopisme pur ? Non.
Concrètement déclinée, la mutation écologique de la société donne : des emplois relocalisés, créateurs d’activités économiques au sein d’une ville ; des besoins de coopérations mieux satisfaits dans l’espace public, sources de solidarités, de débats démocratiques, de culture, d’ économies d’énergie, de transports publics ou partagés ; un air et des espaces mieux protégés pour tout ce qui vit, humanité et nature, sources de nouveaux conforts et de santé.
La plus petite expérience pèse aujourd’hui dans notre civilisation en réseau, et l’échelle de la ville est pertinente.
Pascale Méker
Conseillère municipale déléguée
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